vendredi 24 août 2012

Les critères d’un bon projet web analytics

Ergonomie
Déterminez le caractère accessible, intuitif de l'outil. Surveillez si vos publics cibles (par exemple, l'activité, l'analyste des données et l'informatique) peuvent effectivement exploiter et adapter le jeu d'outils et la fonction de génération et ou de visualisation de rapports, ou si, au contraire, vous devez faire appel à des ressources dédiées pour créer, pour leur compte, des tableaux de bord et des rapports nécessaires. Évaluez également le besoin de formation.
Fonctionnalité
Testez la fonctionnalité dans des situations métier réalistes : l'outil fait-il bien ce qui est marqué sur la boîte ? Pouvez-vous utiliser des fonctions, des rapports, et un marquage des pages prêt à l'emploi ? Ou bien devez-vous adapter la collecte de données et en étendre la fonctionnalité ? (Vous pouvez être conduit à exécuter différents scénarios avec les éditeurs.) Assurez-vous de la valeur réelle des éléments pour l'activité.
Technique
Appréhendez l'effort nécessaire pour installer, configurer et personnaliser la solution. Tâchez de percevoir le plan de mise en œuvre réel. Déterminez tout débordement imprévu dans votre environnement. Testez l'interopérabilité potentielle avec vos autres systèmes et sources de données. Essayez d'identifier toute limite pour chaque solution. Déterminez si des marqueurs peuvent être étalés, personnalisés ou intégrés.
Réactivité
Déterminez le niveau de réactivité des solutions tant ASP que logicielles classiques (perfor¬mances, capacité à gérer les volumes, disponibilité des rapports et des données, réaction aux bancs d'essai) et des éditeurs eux-mêmes (assistance de premier niveau, capacité d'adaptation à vos besoins spécifiques, documentation et personnalisation).

Opter la bonne stratégie Web Analytics 2.0

Vous savez à présent qu'au fil du déploiement de votre stratégie Web Analytics 2.0, vous serez amené à intégrer distinctes sources de données pour obtenir une vision exhaustive de votresecteur d'activité.
Quel que soit l'éditeur dont vous sollicitez les services, vos données de flots de clics vous donneront l'impression d'atteindre une certaine limite au bout d'un moment. Vous finirez par avoir besoin de plus d'éclaircissements et vous souhaiterez intégrer ces flots à d’autres sources de données. L'exportation de données n'est pas un processus qui va de soi et vous devrez pourtant importer des données dans vos outils. Vous devrez inspirer la facilité avec laquelle votre éditeur potentiel peut gérer l'importation de données externes.

À cet égard, vous pouvez être amené à assimiler certains des types de données suivants à votre outil : métadonnées issues d'autres sources au sein de votre entreprise, données de CRM (GRC, Gestion de la relation client), données provenant d'une agence publicitaire ou de recherche, données issues de sondages contenant la clé primaire (telles que des valeurs de coches) et résultats de tests multivariables ou A/B. Vous devez être en mesure d'importer effi¬cacement des données (sans mobiliser de ressources humaines si possible), puis de les exploiter à des fins de segmentation ou de génération et de visualisation de rapports.

Google AdWords et Google Analytics sont de bons exemples d'intégration : il n'est pas néces¬saire de marquer (baliser) vos campagnes de recherches payées. Google Analytics présente vos campagnes de façon nette et énonce ; elles sont alors faciles à analyser.
Google WebsiteOptimizer et Google Analytics constituent un exemple sous-optimal d'inté¬gration. Vous pouvez mesurer le degré de réussite de vos expériences dans WebsiteOptimizer pour un seul objectif donné. Sous-optimal, car il serait bien plus utile que les outils soient inté¬grés et que vous puissiez recenser davantage de résultats.
Définissez bien la limite que votre éditeur potentiel ne pourra pas franchir quant aux types de données que vous souhaitez imprégner.

jeudi 23 août 2012

Comment fonctionne un moteur de recherche ?

Un moteur de recherche est un assortiment de logiciels parcourant le Web puis indexant automatiquement les pages visitées. Quatre étapes sont essentielles à son fonctionnement :
•    la collecte d’informations (ou crawl) grâce à des robots (ou spiders ou encore crawlers) ;
•    l’indexation des données collectées et la constitution d’une base de données de documents appelé « index » ;
•    le traitement des requêtes, avec tout particulièrement un système d’épreuve de l’index et de classement des résultats en fonction de critères de pertinence suite à la saisie de mots-clés par l’utilisateur ;
•    la réparation des résultats identifiés, dans ce que l’on appelle souvent des SERP (SearchEngineResult Pages) ou pages de résultats, le plus fréquemment présentées sous la forme d’une liste de dix liens affichés les uns en dessous des autres.
Les pages de résultats des moteurs de recherche affichent deux principaux types de contenu : les liens « organiques » ou « naturels », obtenus grâce au crawl du Web et les liens sponsorisés, ou liens commerciaux.

Pourquoi faut-il éviter les pages satellites ?

Pourquoi est-ce que nous vous dissuadons d’utiliser des pages satellites ? Nous allons essayer à travers cet article de vous donner quelques arguments.
1. Les moteurs de recherche considèrent les pages satellites comme du spamdexing. Relisez les conseils techniques de Google à ce sujet aux adresses postérieures :
– http://www.google.com/support/webmasters/bin/answer.py?answer=35769&hl=fr
– http://www.google.com/support/webmasters/bin/answer.py?answer=35291&hl=fr
Vous pourrez y consulter la phrase suivante : « Une autre pratique illicite consiste à inclure des pages satellites (doorway) saturées de mots-clés sur le site du client. Le SEO prétend que cette pratique rendra la page plus pertinente et correspondra à un plus grand nombre de requêtes des internautes. Ce principe est faux, car une page donnée est quelquefois pertinente pour un grand nombre de mots-clés. Mais ces pratiques peuvent même aller plus loin : très souvent, ces pages satellites contiennent des liens secrets qui se manifestent vers les sites d’autres clients du SEO. Elles détournent ainsi la popularité du site d’origine vers le SEO et ses autres clients, y compris parfois des sites au contenu incertain ou illégal. » Difficile d’être plus explicite.
D’autres moteurs que Google proposent pareillement dans leur site des guidelines assez précises dans ce domaine. Par exemple pour Yahoo! :
– http://help.yahoo.com/l/us/yahoo/search/webmaster/
Et pour Microsoft Bing :
– http://www.bing.com/webmaster
2. Malheureusement, de nombreux tromperie ont été constatés dans ce type de technique, et les moteurs ont, petit à petit apprécié ce type de page et l’ont fait savoir de façon de plus en plus explicite dans leurs pages d’aide.

Liste de toutes les API de Google

Il y a longtemps que l'API de Google subsiste (c’est celle qui permet de faire des recherches dans l'index des pages web de Google), mais saviez-vous qu'il existe aujourd'hui plusieurs API abandonnés ? Voici une liste des API proposées par Google et qui sont les plus connus :
API Blogger
  o    site officiel
  o    blog officiel
  o    API Blogger (GData API)
API Google AdWords
  o    site officiel
  o    blog officiel
  o    Google AdWords API
API Google AdWordsSandbox
  o    site officiel
  o    Google AdWordsSandbox API
API Google Calendar
  o    site officiel
  o    Google Calendar API
API Google Checkout
  o    site officiel
  o    Google Checkout
API Google Deskbar (ou Google Desktop)
  o    site officiel
  o    Google Deskbar API (pour Google Desktop)
  o    La Google Deskbar API
API Google Gadgets
  o    site officiel
  o    Placer des Google Gadgets sur son site
API Google Homepage
  o    site officiel
  o    Google HomePage API
  o    Outil reposé sur Google HomePage API
API Google Maps
  o    site officiel
  o    blog officiel
  o    blog de Google Maps API
API Google Search
  o    site officiel
  o    Pilote du développement de l'API Google
  o    Obtenir une clé Google API
API Google Suggest
  o    pas de site officiel...
  o    Google Suggest
  o    Outil de suggestion de mots-clés
API Google Talk
  o    site officiel
  o    API Google Talk (Libjingle)
  o    Google Talk API
API Google Toolbar
  o    site officiel
  o    Google Toolbar API
  o    Google Toolbar v4 et API
Google AJAX Search API
  o    site officiel
Jusqu’à maintenant, il n'existe pas encore d'API Google News ou d'API Google Images, peut être que c’est le futur projet du google.

La stratégie de Google pour ses développeurs

Le portail developers.google.com est la partie perceptible de la nouvelle orientation de la société.
Comme le disait si bien Mr Steve Ballmer, le PDG de Microsoft : « Developers, developers, developers, developers ». Google se recentre depuis quelques mois, en fermant certains de ses prestations comme Health, Labs, Wave ou encore Knol. Une grosse mutation est également en cours depuis quelques mois : Google+. Tous les services y passent, l’intégration avec Google+ est inéluctable, surtout depuis que les nouvelles conditions d’utilisation de Google sont en vigueur. Google Developers est également au carrefour de cette modification
Le site Google Developers a été lancé le 22 février dernier. Il se définit comme le hub des développeurs utilisant les meilleures technologies Google. Il a été conçu pour réunir toutes les ressources à propos des API, languages et solutions 100%  Google. Initialement, seule l’API de Google+ était disponible sur ce site. Mais au début de plus en plus d’articles sont disponibles sur Google, Code basculent sur Developers. Les évènements pour développeurs sont maintenant listés entièrement dans un calendrier avec une gestion des employés et des développeurs présents. Google I/O est déjà sur developers. Les GTUGs seront rapidement intégrés à ce site. Pour le moment, seul Android fait de la résistance.
Google cherche à fédérer ses développeurs grâce à des évènements, des ressources claires et en construisant une véritable union sur Google+. Chaque technologie Google a sa propre page Google+ (Google Maps, Android, Google+, etc.) et ces pages sont très actives, avec par exemple des rencontres régulières sur Hangouts. Chaque bureau Google se dote de la fonctionnalitédeveloperadvocate qui établit des liens entre la communauté et les employés de Google à travers des concours et des présentations ciblées lors de diverses conférences. Tout cela existant avant Google Developers, mais on sent depuis quelques semaines un réelallongement autour de ces développeurs qui contribuent au succès de Google et d’Android. Attendez-vous à une actualité ample à ce sujet dans les mois prochains.